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Internet, TIC et éducation

  • Environnement WebCT : des outils pour enseigner et apprendre

    Ce dossier présente l’environnement WebCT (Web Course Tools), un ensemble intégré d’outils permettant aux enseignants de développer des cours et des activités de formation accessibles en ligne. On y présente des exemples concrets d’utilisation de cette plateforme de gestion de cours et de contenus ainsi que la façon dont elle peut répondre aux besoins variés des enseignants en servant tant les activités d’apprentissage, d’encadrement et d’enseignement que les activités d’évaluation.
     

    Dans les activités d’apprentissage, l’étudiant est l’acteur principal et est actif. Son rôle n’est pas seulement de recevoir de l’information, mais aussi d’utiliser la matière afin de résoudre des problèmes ou des exercices proposés par l’enseignant. Les exercices individuels ou en équipe, les projets de recherche, les travaux de session et les simulations sont des exemples d’activités d’apprentissage fréquemment utilisées en classe (Viau, 1994). L’utilisation des outils WebCT, si l’on souhaite les intégrer aux activités d’apprentissage, vise donc à permettre à l’étudiant d’appliquer ses connaissances.

    Dans les activités d’encadrement, des moyens sont mis à la disposition des étudiants par le concepteur pour leur offrir des repères, les guider et les soutenir dans leur apprentissage. Les outils, lorsqu’ils sont utilisés dans cette optique, visent donc à accompagner et à encadrer les étudiants dans la réalisation de tâches et d’apprentissages.

    Dans les activités d’enseignement, l’enseignant est l’acteur principal ; son rôle consiste à communiquer la matière à l’étudiant. En situation d’enseignement en présentiel, l’exposé magistral est l’activité d’enseignement la plus connue et sûrement la plus utilisée (Viau, 1994). Les outils WebCT associés à ces activités sont principalement les pages individuelles et les modules de contenus qui permettent de diffuser la matière.

    Finalement, dans les activités d’évaluation, l’objectif est de « se prononcer sur la façon dont les attentes sont réalisées ; autrement dit, sur la mesure dans laquelle une situation réelle correspond à une situation désirée » (Hadji, 1997, p.119). Les outils d’évaluation permettent de faire passer des tests en ligne. Il peut s’agir d’épreuves formatives ou d’épreuves sommatives.

    Nous tenons à préciser que seuls certains outils de WebCT seront présentés dans le cadre de ce dossier. Pour une présentation plus exhaustive ou davantage technique, nous invitons le lecteur à se référer au document Premiers pas avec WebCT.

  • Usage des wikis en Classe

    L'objectif d'une telle "co-curricularisation" est d'influencer la qualité de TOUS les travaux, et pas seulement les siens [1] La qualité doit être influencée DANS LE TEMPS (durabilité à long terme des connaissances) (Ciffolilli, 2003 & Schwartz, 2004), AU SEIN des collectivités (entre étudiants, entre classes, entre années, entre générations ; voir, par exemple, Scardamalia & Bereiter, 1994), AU SEIN de projets ouverts et VERS la création de "biens publics impossibles" (Ciffolilli, 2003). Si la création d'assemblages de biens collectifs de valeur n'est pas nouvelle, les outils qui les incitent intrinsèquement - et à une si grande échelle - peuvent être vraiment nouveaux (Godwin-Jones, 2003).

    Comme de nombreux environnements en ligne, les wikis créent la possibilité de " collectionneurs collaboratifs " internationaux et de " réseaux sociaux " interdisciplinaires qui améliorent la vie sociale par la connaissance et la participation mutuelle à de nouveaux types d'activités culturelles et de loisirs (Mark, 2001 cité dans Muirhead, 2004). Les collectivités en réseau sont censées permettre un travail d'équipe plus large et diversifié (Ciffolilli, 2003). On dit que le travail en équipe invite à des perspectives multiples, induit des compétences de développement plus élevées, réduit l'incertitude au cours d'activités complexes et augmente la participation (Harasim 2003, cité dans Muirhead, 2004).

    Plusieurs environnements en ligne (tels que les forums et les babillards) permettent de tels échanges et pratiques de travail potentiellement innovants. Comme les wikis, ils sont fondés sur un modèle de construction de connaissances distribuées, dans lequel l'information circule librement sans avoir à passer par une autorité centrale. Toutefois, dans la technologie wiki, cette distribution concerne non seulement l'échange d'idées, mais aussi l'édition et la publication des idées. Les wikis sont fondés sur un principe d'autorité non exclusive. Tout le monde peut décider de ce qui sera dit (contenu), comment cela sera dit (organisation) et si cela sera dit (diffusion). La section À propos de la recherche présente certaines possibilités et préoccupations concernant la distribution des auteurs, l'édition ouverte et le public en tant qu'éditeur.

  • Potentiel pédagogique des wikis

    Les wikis sont nouveaux dans le contexte universitaire. (Quelques pratiques récentes de mise en œuvre sont présentées dans la section Exemples, et plusieurs lignes directrices pour l'utilisation des wikis sont proposées dans la section Outils d'évaluation). La pédagogie wiki est littéralement - et figurativement - "en devenir". Les wikis, de par leur existence ontologique, contournent les relations traditionnelles entre pouvoir et savoir. Ce que ces outils de démocratisation peuvent - ou ne peuvent pas - mettre en œuvre dans et à travers les contextes éducatifs reste à voir. Si les descriptions de leur mise en œuvre potentielle sont brèves, les questions qu'elles soulèvent sont complexes et difficiles.

    Les wikis permettent de construire des connaissances avec et pour les autres. L'accent est mis sur la communauté elle-même plutôt que sur l'apprenant individuel (Holmes, Tangney, FitzGibbon, Savage, & Mehan, 2004). Les implications du constructivisme communautaire pour le contexte universitaire sont particulièrement importantes. Pour reprendre les termes de Holmes et al (2001), "Ce que nous défendons, c'est un constructivisme communautaire où les étudiants et les enseignants ne sont pas simplement engagés dans le développement de leurs propres informations, mais activement impliqués dans la création de connaissances qui bénéficieront aux autres étudiants. Dans ce modèle, les étudiants ne se contentent pas de passer à travers un cours comme l'eau à travers un tamis, mais laissent leur propre empreinte dans le développement du cours, de leur école ou université, et idéalement de la discipline."

  • Présentation du projet européen "Green Learning Network"

    – créer un réseau de réseaux dans les domaines de l’agriculture, de la biodiversité et de l’éducation
    rurale (ABR).
    – mettre à disposition d’acteurs du secteur ABR via une plate-forme un ensemble de ressources : des ressources éducatives libres,
    des bonnes pratiques, des scénarios pédagogiques et des études de cas en s' appuyant sur une approche d’investigation des sciences
    (diagnostic de problèmes, échanges, débat, recherche d’informations …). Il s'agit de favoriser un apprentissage
    actif, collaboratif en proposant notamment des études de cas pertinentes pour répondre aux attentes
    des apprenants.
    Un réseau composé d’apprenants, d''éducateurs', de professionnels de l’agriculture, d'institutions, d'
    usagers de la formation tout au long de la vie, d'ONG, d'experts en REL (Ressources Educatives Libres) et en ABR (agriculture, biodiversité,
    éducation rurale)

  • Petit lexique de la domotique

    Maison intelligente, objets connectés, pilotage centralisé, interscénarios : ces expressions phares, utilisées à tout-va, sont devenues familières dans l’univers de la domotique. Mais concrètement, que signifient-elles ? Et qu’est-ce que vraiment la domotique ?

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    Cette question, vous vous l’êtes surement déjà posée une fois. Alors pour vous aider à y voir plus clair, nous vous avons concocté un petit lexique simple et concis qui vous aidera à mieux comprendre l’univers singulier de la domotique. Une petite feuille de route à garder à l’esprit tout au long de votre lecture sur le blog, ou ailleurs. Focus.

    - Domotique. Le saviez-vous ? Le mot « domotique » est la contraction des mots domus, maison en latin, et automatique. Comprenez donc une maison automatisée. La domotique regroupe alors toutes les techniques et systèmes qui permettent l’automatisation de la maison : confort, sécurité et énergie. Le décor est planté.

    - Maison intelligente. Le terme maison intelligente se rapproche étroitement de la domotique, à une petite nuance près : elle serait capable d’anticiper nos désirs. Alors que la domotique nous permet d’actionner nos souhaits, la maison intelligente, elle, les devinerait. Elle serait alors en communication permanente avec notre cerveau. Nous n’y sommes pas encore mais tout est une question de temps et d’innovation : un artisan rénovation Foix, Pamiers, Mirepoix, teste et utilise déjà les technologies de maison intelligente comme Somfy., Evohome Security de Honeywell, ou les Objets connectés Thomson...

    - Objets connectés. Ou Internet des objets, sont parmi nous…et ils ne cessent de se multiplier. On entend par objets connectés les Smartphones, les ordinateurs, les GPS et tous ces petits objets tantôt pratiques, tantôt gadgets qui communiquent avec un autre objet. On parle alors d’objets communicants. Exemples : les Google Glass, le bracelet connecté pour maitriser son poids ou encore, la serrure connectée ! On n’arrête pas le progrès.

    - Interscénarios. Chez Legrand, l’interscénario domotique, disponible sur la gamme Céliane, permet de créer des programmes adaptés à votre mode de vie. Depuis l’écran tactile central, vous composez et lancez vos scénarios. Par exemple, pour un scénario « Je me lève le matin », vous programmez à 7h : l’ouverture des volets, l’allumage de la lampe de chevet des enfants, le convecteur de la salle de bain et l’allumage de la prise commandée de la cafetière. Tout est sous contrôle.

    A bientôt pour un nouveau décryptage 100% domotique.

  • Petite histoire récente du fond d’écran animé

    Faut-il rappeler que l’arrivée de Dreamscene ne correspond en rien avec la naissance du fond d’écran animé ? Chez Microsoft, de Windows 95 jusqu’à XP compris, le système Active Desktop permettait d’installer une page HTML, porteuse par exemple d’un Gif animé ou encore d’une animation Flash, en guise de fond d’écran… On trouve depuis de nombreuses années, ici ou là, diverses offres de fonds d’écran animés, allant de l’astronomique au kitsch absolu (Earthdesk de Xeric Design ; Elefun Desktops, Freeze…).

    Sur Mac [lien mort], il semble qu’il soit également possible de mettre des vidéos en fond d’écran, ainsi que sur Linux. Mais mon impression est que ces choses-là tendent à être peu connues ou à tomber facilement dans l’oubli. Ça ne semble pas ou plus intéresser grand monde. Parmi les causes possibles, il faut rappeler que dans bien des cas les fonds d’écran animés pouvaient poser quelques difficultés.