Une partie de cette expérimentation consistera dans un premier temps à agréger les sources, services et mines de données qui traduisent les nouvelles pratiques liées à l’hyperlocal web 3.0. Toutes ces données peuvent être classées suivant le découpage suivant :
Site web, blog, wiki, etc. à dimension territoriale ou situé sur le territoire
- Sites produits par les acteurs publics territoriaux, souvent déjà recensés par les baromètres existants
- Portails de ville, de territoire, etc. (produits ou non par les acteurs publics) ;
- Blogs parlant d’une ville, d’un territoire ;
- Sites d’acteurs locaux à dimension territoriale : associations, commerces, entreprises, culture, éducation, tourisme, etc. ;
Sites collaboratifs de type Wiki « territoriaux » ;
Contenus du « web 2.0 » disposant de coordonnées géographiques et / ou de mots clés (tags) identifiant leur localisation
- Photos (Flickr, photobucket, etc.) ;
- Vidéos (Youtube, dailymotion,, etc.);
- Partage de « bons plans », de restaurant, de lieux touristiques avec les liseuses en voyage, d’hôtels basé sur un fond cartographique (dismoiou, qype, tripadvisor, etc.) ;
- Sites d’échange, de petites annonces, (ebay, leboncoin, etc.) ;
Profils de personnes localisés sur un territoire
- Dans des sites de réseaux sociaux à dimension de rencontre, de « réseautage » (Myspace, blogmarks, Facebook, Skyblog, Meetic, onvasortir, copain d’avant, Twitter, etc.) ;
- Dans des sites sociaux à vocation professionnelle (Viadeo, Linkedin, Ziki, etc.) ;
- Dans des sites sociaux à dimension locale (Peuplade, hameaux-durables, Ma-résidence.fr, etc.) ;
- Sur des réseaux sociaux mobiles ;
- Sur des blogs et sites personnels qui informent sur leur localisation ;
- Dans les messageries instantanées (Skype, MSN, etc.) ;