Ils accompagnent la mise en œuvre de nombreux projets visant à créer de réelles infrastructures numériques et un nouvel élan communicationnel au sein de ces collectivités.
Nous n’avons pas trouvé le budget du Fond mais celui-ci est alimenté par plusieurs mécanismes de financement : des contributions volontaires provenant des Etats, des collectivités ou des entreprises. La source principale de financement, néanmoins, reste celle du « pour cent numérique » : « Il s’agit d’une contribution de 1% sur les marchés publics relatifs aux technologies de l’information, payée par le vendeur sur sa marge ».
Réduire la fracture numérique dans les pays les moins développés ne peut plus être considéré comme un luxe contingent aujourd’hui ; dans un monde surinformé, « le manque d’accès à l’information » équivaut nécessairement à « inégalité ».
Grâce à l’ASN et au FSN, l’ordinateur, le réseau et les personnes qui l’animent, échangent et produisent du contenu, deviennent les nouveaux médias, renforcent la société civile et participent au développement de la démocratie.
Pour prolonger ce billet
Un compte-rendu des activités de l'université numérique d'été proposé par le blog Qui vivra verra / Le rendez-vous du donner et du recevoir
La vidéo d'un reportage réalisé par direct 8 sur le projet éducation numérique pour tous porté par Alain Madelin président du Fonds mondial de solidarité numérique sur Dailymotion
Un mémoire sur l'apport du "web 2.0" à la solidarité numérique par Destiny Tchehouali, en stage à l'agence en 2008